N°27 – Kilim Azeri (Azerbaïdjan)
400.00€ 200.00€
- titre : Kilim Azeri ( Azerbaïdjan)
- ref : 27
- dimensions : 150 cm x 100 cm
- Provenance : Caucase
- Matériaux : Laine
- Fabrication : noué à la main
- Age : Milieu du XXème siècle
Le tapis azerbaïdjanais est un tapis dense, fait à la main sur un métier à tisser horizontal ou vertical. La laine, le coton ou la soie multicolores sont teints avec des colorants naturels. « L’art traditionnel du tissage du tapis azerbaïdjanais en République d’Azerbaïdjan » a été inscrit en 2010 par l’UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
La fabrication de tapis est une tradition familiale transférée par voie orale et par la pratique, la fabrication de tapis et la fabrication de tapis étant principalement une profession féminine. Commencer un nouveau tapis signifiait une fête, mais l’achèvement d’un tapis signifiait une célébration encore plus grande pour la famille. Auparavant, des tapis finis étaient disposés devant la maison afin que les passants avec le poids de leurs pieds les rendent encore plus serrés qu’ils ne l’avaient déjà été noués. Pour le processus traditionnel de tapis et de tapis, les hommes ont cisaillé le mouton pour la laine au printemps et en automne, Tandis que les femmes ont recueilli des colorants et des fils de teinture et de teinture au printemps, en été et en automne. Les tapis azerbaïdjanais sont classés dans quatre grands groupes régionaux, à savoir Quba-Shirvan, Ganja-Kazakh, Karabakh et Bakou.
Tout comme les autres arts décoratifs, le tissage des tapis crée de puissants liens entre les différentes cultures à la fois dans le temps et l’espace. Par l’association au sein d’une même œuvre d’éléments archaïques et de motifsplus modernes, de fort symboles anciens venus de la nuit des temps et de modes d’expression d’aujourd’hui, l’art du tissage, transmis de génération en génération depuis des siècles, témoigne d’un sens de la tradition, même si la signification profonde des ornements ne garde qu’une valeur décorative. En cela, comme la céramique, l’orfèvrerie ou le costume, l’art du tissage des tapis reflète le brassage des cultures et son influence profonde sur le mode de vie, les échanges commerciaux ainsi que tous les aspects de la vie courante.
Quand on parle du Caucase, lieu de mélanges ethniques et religieux, de contrastes entre divers modes de vie et de bouleversements historiques, il faut observer que ni les particularités techniques, ni le lieu d’origine, ni même les caractères utilisés pour les inscriptions ne sont suffisants pour faire attribuer avec certitude un objet d’art, et plus particulièrement un tapis, à une culture donnée. L’ensemble de tous ces éléments seul permet de tirer des conclusions.
Les « tapis du Caucase » regroupent des œuvres créées pour la plupart au xixe et dans les premières années du xxe siècle sur le territoire délimité de l’Azerbaïdjan, de l’Arménie et de la Géorgie, entre la chaîne du Caucase et les frontières iranienne et turque. Les tapis du Daghestan se rattachent également au groupe caucasien. Ces tapis se distinguent par leur grande variété, leur richesse dans l’ornementation, une subtile harmonie dans le jeu des gammes des couleurs, et surtout, par le caractère unique de chaque exemplaire, jusqu’au début du xxe siècle, époque pendant laquelle l’apparition des cartons commença pour la reproduction des dessins.
N°27 – Kilim Azeri (Azerbaïdjan)
- titre : Kilim Azeri ( Azerbaïdjan)
- ref : 27
- dimensions : 150 cm x 100 cm
- Provenance : Caucase
- Matériaux : Laine
- Fabrication : noué à la main
- Age : Milieu du XXème siècle
Le tapis azerbaïdjanais est un tapis dense, fait à la main sur un métier à tisser horizontal ou vertical. La laine, le coton ou la soie multicolores sont teints avec des colorants naturels. « L'art traditionnel du tissage du tapis azerbaïdjanais en République d'Azerbaïdjan » a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. La fabrication de tapis est une tradition familiale transférée par voie orale et par la pratique, la fabrication de tapis et la fabrication de tapis étant principalement une profession féminine. Commencer un nouveau tapis signifiait une fête, mais l'achèvement d'un tapis signifiait une célébration encore plus grande pour la famille. Auparavant, des tapis finis étaient disposés devant la maison afin que les passants avec le poids de leurs pieds les rendent encore plus serrés qu'ils ne l'avaient déjà été noués. Pour le processus traditionnel de tapis et de tapis, les hommes ont cisaillé le mouton pour la laine au printemps et en automne, Tandis que les femmes ont recueilli des colorants et des fils de teinture et de teinture au printemps, en été et en automne. Les tapis azerbaïdjanais sont classés dans quatre grands groupes régionaux, à savoir Quba-Shirvan, Ganja-Kazakh, Karabakh et Bakou.
Tout comme les autres arts décoratifs, le tissage des tapis crée de puissants liens entre les différentes cultures à la fois dans le temps et l'espace. Par l'association au sein d'une même œuvre d'éléments archaïques et de motifsplus modernes, de fort symboles anciens venus de la nuit des temps et de modes d'expression d'aujourd'hui, l'art du tissage, transmis de génération en génération depuis des siècles, témoigne d'un sens de la tradition, même si la signification profonde des ornements ne garde qu'une valeur décorative. En cela, comme la céramique, l'orfèvrerie ou le costume, l'art du tissage des tapis reflète le brassage des cultures et son influence profonde sur le mode de vie, les échanges commerciaux ainsi que tous les aspects de la vie courante.
Quand on parle du Caucase, lieu de mélanges ethniques et religieux, de contrastes entre divers modes de vie et de bouleversements historiques, il faut observer que ni les particularités techniques, ni le lieu d'origine, ni même les caractères utilisés pour les inscriptions ne sont suffisants pour faire attribuer avec certitude un objet d'art, et plus particulièrement un tapis, à une culture donnée. L'ensemble de tous ces éléments seul permet de tirer des conclusions.
Les « tapis du Caucase » regroupent des œuvres créées pour la plupart au xixe et dans les premières années du xxe siècle sur le territoire délimité de l'Azerbaïdjan, de l'Arménie et de la Géorgie, entre la chaîne du Caucase et les frontières iranienne et turque. Les tapis du Daghestan se rattachent également au groupe caucasien. Ces tapis se distinguent par leur grande variété, leur richesse dans l'ornementation, une subtile harmonie dans le jeu des gammes des couleurs, et surtout, par le caractère unique de chaque exemplaire, jusqu'au début du xxe siècle, époque pendant laquelle l'apparition des cartons commença pour la reproduction des dessins.
Information complémentaire
Dimensions | 150 x 100 cm |
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